Alexis - Non Duality - Brighton, November, Day 1 - 14/11/25

Alexis - Non Duality - Brighton, November, Day 1 - 14/11/25

Bref Résumé

Cette vidéo explore la nature de la non-dualité, soulignant qu'il n'y a pas de chemin, de pratique ou de but à atteindre, car l'absolu est déjà complet et inconditionnel. Elle aborde l'illusion du soi séparé, la souffrance causée par le sentiment de séparation, et comment la recherche de quelque chose d'extérieur à soi est une forme d'oubli de ce qui est déjà présent. La vidéo examine également comment la non-dualité affecte la personnalité, les relations et la perception du monde, en mettant l'accent sur l'acceptation inconditionnelle et la liberté de l'être.

  • L'absolu est déjà complet et inconditionnel.
  • Il n'y a pas de soi séparé.
  • La souffrance découle du sentiment de séparation.

Introduction à la non-dualité

La non-dualité est présentée comme une exposition intemporelle de ce qui est, sans processus ni pratique à suivre. Il n'y a pas de destination ou de but à atteindre, car l'absolu est déjà entier et inconditionnel. Le temps et l'espace sont relatifs, et l'absolu est l'absence de relativité. Il n'y a rien à faire ou à changer pour que cela soit le cas. L'exploration porte sur la possibilité que tout soit déjà complet et inconditionnellement accompli. Les choses relatives peuvent sembler se rapprocher ou s'éloigner, mais ce n'est pas le cœur du sujet. Il n'y a pas de hiérarchie ou de comparaison, et tout ce qui apparaît est équanime.

L'illusion du soi séparé

La non-dualité expose l'illusion d'un soi séparé. Il n'y a pas de subjectivité centrale à laquelle tout arrive. L'immédiateté est soulignée comme étant non distante et non séparée. Un centre simulé peut sembler apparaître énergétiquement, comme un tourbillon, créant l'illusion de continuité et de linéarité du temps. Ce tourbillon donne l'impression que quelqu'un est conscient de ce qui se passe, mais il n'y a pas de substance réelle à cela. L'histoire du "moi" se développe avec l'idée d'un corps habité, mais il n'y a pas de substance à cela non plus.

Les conséquences de la séparation

De fausses perceptions émergent de l'illusion du soi, telles que l'individualité et l'autonomie. Il semble qu'il y ait quelqu'un qui habite un corps et qui choisit ses actions, mais c'est une illusion. Les identités sont comme des débris aspirés dans un tourbillon, sans substance réelle. Il semble y avoir un sens au but et à la signification, mais tout cela tourne autour de rien. Malgré cela, un sentiment de manque et de souffrance existentielle peut s'installer, conduisant à la recherche de plénitude dans des choses extérieures.

La recherche et l'oubli de l'absolu

La recherche de quelque chose d'extérieur à soi confirme l'illusion de la séparation et du paradigme sujet-objet, ce qui est le samsara. L'absolu, ce qui est réellement désiré, n'est pas séparé ou distant, mais est déjà ce qui se passe naturellement. Chaque fois qu'il y a une recherche, il y a un oubli de ce qui est déjà là. L'énergie d'anticipation de ce qui va arriver perpétue l'illusion de continuité et de cyclicité. Le rêve du soi séparé court sur un tapis roulant sans personne au centre, sans but ni destination.

L'exposition de l'immédiateté

L'exposition de l'immédiateté peut sembler être un mur pour l'énergie de recherche, car elle ne donne pas de direction ou d'espoir d'aller ailleurs. Elle souligne que "ceci" est déjà le foyer. Il peut y avoir un repos apparent dans cette réalisation, une merveille enfantine que "ceci" est tout ce qu'il y a. Il n'y a rien à comprendre ou à résoudre, car rien n'est cassé. L'immédiateté est déjà totale.

Dialogue et jeu avec les concepts

Il n'y a personne pour comprendre cela, car il n'y a rien à comprendre. Ce n'est pas un puzzle à résoudre, mais une simplicité qui ne peut être conceptualisée. Il n'y a pas de transaction ou d'échange, et personne n'est à la réception de ce message. L'idéal qu'un soi puisse disparaître est également réfuté, car cela impliquerait une progression vers une destination imaginée. Il n'y a rien à attendre ou à changer, car c'est déjà terminé.

L'expérience personnelle d'Alexis

Alexis partage son parcours de chercheur spirituel à la rencontre avec Tony Parsons, qui a marqué la fin de son histoire de personne séparée. Il a réalisé que ce qu'il cherchait était déjà là, mais qu'il était trop investi dans l'idée de ce qui allait arriver ensuite. L'absolu ne peut être approché ou éloigné. Cette exposition a révélé qu'il n'y avait déjà personne, pas de personne séparée.

Changements dans la personnalité et les tendances

Après cette réalisation, les névroses de vouloir changer ou s'améliorer ont disparu, et tout est simplement ce qui est. Tout est inconditionnellement autorisé à être tel quel. Il n'y a pas d'intention ou d'agenda pour que quiconque change ou devienne quoi que ce soit. Cette absence d'attentes peut être à la fois désorientante et soulageante.

Amour inconditionnel et incarnation

L'amour inconditionnel est tout ce qu'il y a, embrassant le bon, le mauvais et le laid. C'est l'absence de séparation, l'embrassement total de tout ce qui est. Ce n'est pas un amour que l'on peut posséder ou connaître, mais l'effondrement des structures séparées qui ne se produisent pas. L'incarnation dans un corps est abordée, avec la question du "pourquoi" de l'expérience physique. L'absolu et le relatif sont un, et dans cette unité, il y a un sens de l'évolution.

L'absolu et le relatif

La plénitude dans le sens absolu ne peut être améliorée ou empirée, mais dans l'apparence, il peut y avoir guérison et douleur. Il n'y a pas de soi séparé qui orchestre cela. L'énergie de ceci est une exposition absolue, et dans cela, il peut sembler y avoir une ouverture et une réceptivité. Les préférences et les aversions sont libres d'être elles-mêmes. Il n'y a pas de pression pour "bien faire les choses".

La coexistence du métaphysique et du physique

Il n'y a pas deux réalités séparées, mais plutôt deux façons différentes de voir la même réalité. La réalité naturelle est l'absolu, le tout, et cela peut apparaître comme des corps assis dans une pièce. Même le rêve relatif de choses séparées qui se produisent en fait partie. L'unité a besoin d'être décomposée pour avoir le sens de ce que c'est que de faire partie de ce tout.

L'émergence du soi

À la naissance, il n'y a qu'émerveillement et pas de soi. Après un certain temps, il semble y avoir une émergence d'un sens ressenti d'un centre, et c'est l'incarnation. Cela crée l'illusion de distance et l'objectivation du monde. Les sensations et les sentiments semblent être des objets connus par un centre. Les traditions spirituelles appellent cela l'unité qui s'expérimente à travers le rêve de la séparation.

Le rêve de la séparation

Le rêve de la séparation est une perturbation, un sentiment que quelque chose manque. C'est le rêve de l'individualité, de la séparation, de la continuité, de l'autonomie et de la localisation. Il n'y a personne là, c'est une réinitialisation au réglage par défaut où le corps est simplement tel qu'il était en tant que bébé. Il n'y a pas de "moi" ici et de "toi" là-bas, mais tout est réduit et étendu à l'immédiateté. Tout est de la même source, de la même totalité.

L'incompréhensibilité du "rien"

Le "rien" fait référence à l'absence de choses et de continuité. Il n'y a pas de choses qui se produisent, pas de corps séparés, de chaises ou de mots. Tout est totalement vide, mais vibramment vide. Il n'y a pas de bord de la peau où l'atmosphère se termine et où le corps commence.

Changements de perception sensorielle

Il n'y a pas de "avant" et "après" dans le paysage de la séparation. Il n'y a pas de similitude ou de différence, mais tout est immédiatement "ceci". Il n'y a pas de "vous" qui regarde à travers vos yeux, mais seulement le fait de voir qui apparaît. Le "vous" centré n'est pas là, et tout est immédiateté sans distance. Il n'y a plus de "ici" ou "là", et c'est sans espace et sans temps.

Les quatre perceptions illusoires

Les quatre principales perceptions illusoires sont l'espace, le temps, l'autonomie et la conscience. L'autonomie est la sensation que "je" bouge mon bras, mais cette sensation disparaît. Personne ne lève la main, ne prononce les mots ou ne pense les pensées. Ces quatre perceptions exigent la séparation et meurent avec le rêve de la séparation. Tout ce qui reste est l'immédiateté.

Le paradoxe divin

Tout est le tout, ce qui est appelé "rien" ou "amour inconditionnel". L'amour inconditionnel décrit plus que le "rien", car c'est le "rien" et le "tout". Le "rien" n'est pas un vide nihiliste, mais "ceci". Il y a un paradoxe dans le fait que tout est le tout, mais qu'il y a aussi de nombreuses parties composantes.

La métaphore du puzzle

L'absolu est comme l'image sur la boîte d'un puzzle, une image entière et inséparable. Le relatif est comme les pièces séparées du puzzle, une illusion faite de nombreux morceaux fragmentés. L'illusion est qu'il y a des pièces séparées qui s'assemblent. Lorsque le sens d'un lieu disparaît, il ne se sent plus que tout est situé.

L'expérience d'être dans le corps

Il n'y a plus le sens d'être dans un corps. Le corps est simplement en train de se corporifier, et il est plus détendu. Il fait encore du yoga et prend soin de lui, mais il n'est plus influencé par l'illusion que quelqu'un est là pour vivre cela.

Simplicité et complexité

Le paysage relatif est un monde de complexité et d'artificialité, où les choses se distinguent et se séparent les unes des autres. Mais sans cela, tout est réduit à l'ordinaire, au naturel et au simple. Il y a la simplicité d'être sans que personne ne soit, la naturalité d'être assis sans que rien n'ait besoin de se produire.

La mort et l'aliveness

La mort est imaginée comme un retour au royaume méta, où l'on ne fait plus partie du puzzle. L'apprentissage des relations, en particulier la relation avec le royaume naturel, est une forme d'éveil. La préférence est donnée au mot "vibrance" plutôt qu'"aliveness". Le vide est un vide vibrant, un oxymore.

Vibrance et fréquences

La vibrance est partout, mais elle n'est pas discernable. Les choses vibrent à des fréquences différentes, ce qui donne l'illusion de séparation. Il semble y avoir une recherche de sens et de but, un désir de devenir. Le retour illusoire est une sorte de familiarité, mais il ne peut être objectivé ou connu.

Sujet et objet

Il n'est pas nécessaire que tout soit objectivé, mais le sujet et l'objet sont les deux faces d'une même pièce. On ne peut pas avoir l'un sans l'autre. Ce qui est soufflé, c'est le sujet et l'objet en tant que deux choses séparées, et il n'y a que "ceci", l'immédiateté qui danse librement. Il y a un émerveillement dans cela, mais il n'est pas nécessaire d'aller nulle part ou de devenir quoi que ce soit.

Systèmes de croyances et esprit

Tous les systèmes de croyances imaginés s'effondrent, ce qui est libérateur. Le dialogue interne constant a tendance à s'apaiser. La pensée n'a jamais fait obstacle à cette apparence. Les pensées peuvent simplement penser, sans avoir besoin d'être supprimées ou reconnues. Parce que personne ne s'en occupe, elles ont tendance à s'apaiser. C'est totalement naturel et normal.

Certitude et doute

Il n'y a pas de position à prendre avec ce qui est dit, pas d'autorité. Il n'y a pas de position pour être douteux ou certain. Les mots ne viennent pas d'une position de connaissance, mais sont simplement déversés.

Jeu et Leela

Tout est le jeu divin, Leela, qui peut sembler très sérieux et important. Leela est un terme de la tradition hindoue qui fait référence au jeu cosmique divin, sans raison ni but. C'est une façon métaphorique de parler de cette apparence vide.

Enfance et anarchie

Cela rappelle l'enfance, où les enfants sont simplement dans l'effortlessness du jeu. Dans cette singularité d'expression, ils apprécient leur corps sans effort. Il n'est pas nécessaire que ce soit agréable ou non agréable, c'est simplement ce que c'est.

Conscience et sommeil

Cela pourrait se produire sans que vous en soyez conscient. De même que vous ne savez pas quand vous vous êtes endormi, vous n'êtes pas là pour le remarquer. Cependant, le corps semble encore le signaler.

Aperçus et changements

Les aperçus peuvent sembler très nets, un changement dynamique de perception. Mais cela pourrait aussi être très graduel et calme.

Masculin sacré et féminin sacré

Le masculin sacré et le féminin sacré sont des détails d'une apparence qui est fondamentalement vide et pleine. Tout est divin, et le divin peut sembler être divisé en yin et yang. Sans la division, il n'y a que le divin.

Lumière et couleurs

Ce qui se passe, c'est que l'on entre dans l'arc-en-ciel, qui est une abstraction de la lumière blanche rayonnante inséparable. La lumière rayonnante peut sembler se fragmenter en un éventail de couleurs, toutes différentes. Le relatif et l'absolu sont un.

Identité de genre et non-dualité

L'identité est comme la feuille qu'Adam et Ève portent pour couvrir leur honte. C'est quelque chose que l'on porte et que l'on tient, et il n'y a rien de mal à cela. Les identités peuvent changer au fil du temps. L'"Je suis" inqualifié est cette énergie qui n'est pas identifiée ou identifiable du tout.

Liberté et authenticité

Tout s'effondre, et cela ne signifie pas que quoi que ce soit doit changer ou rester le même. C'est la liberté qui joue. Il serait inexact de dire que ce corps est une chose ou l'autre, car il n'y a pas de corps séparé ou d'entité incarnée dans le corps. Il n'y a pas de jeux à jouer ou à abandonner. Tout est la réalité naturelle.

Relations et intimité

Cela peut inclure des relations intimes et sexuelles. Il n'y a pas de filtres ou de jeux. La feuille est tombée, il n'y a pas de prétentions. Il n'y a personne à qui se rapporter, et c'est l'amour inconditionnel. Tout est purement, naturellement et authentiquement ce qu'il est. Il y a une intimité dans l'immédiateté, mais ce n'est pas personnel car il n'y a pas de personne.

Besoins et relations

Il n'y a pas de besoin ou pas de besoin de relations. Il y a simplement la façon naturelle dont le corps s'exprime et veut être ici. Il n'y a pas de choses et de personnes séparées à qui se rapporter. La maladie existentielle exige un autre à qui se rapporter, et cette énergie voit toujours l'autre comme un objet.

Innocence et relations

Il est simplement innocent. L'apparence entière a prétendu être un enfant cosmique perdu dans un vide infini, cherchant sa mère partout. Il la cherche dans les gens, dans les substances et dans les états d'esprit.

Travail de l'ombre et acceptation

Le travail de l'ombre a un attrait lorsqu'il semble y avoir quelqu'un, car il semble y avoir un investissement dans un meilleur état. Mais il cherche quelque chose qui n'est pas vraiment là. Il y a une grande énergie de narration à ce sujet. Il n'y a personne pour accepter ou résister, c'est simplement tel quel.

Changement et transformation

Il n'y a pas vraiment d'énergie pour changer ou se transformer. Mais le jeu et les projets peuvent encore se produire. Le corps peut prendre soin de lui-même sur le plan physiologique et psychologique.

Émotions et navigation

Il peut sembler qu'il y ait une énergie qui négocie et navigue dans les émotions, mais l'innocence de cela est que c'est simplement ce que c'est.

Mémoire et objectivation

La mémoire n'est plus objectivée. Elle n'est pas connue par quelqu'un, elle n'est pas revendiquée ou localisée. Lorsque vous vous souvenez de choses, il n'y a personne qui se souvient. C'est simplement le fait de se souvenir qui semble se produire. Il y a une transience à cela, car il n'y a pas de solidité.

Rêves et histoires

Le rêve peut apparaître, mais le corps ne semble pas s'en souvenir très souvent. Les histoires sont toujours appréciées, ainsi que les mythologies et les contes.

Structure et déconstruction

Il y a une immédiateté dynamique dans certaines histoires, car elles ne sont pas linéaires. Elles déconstruisent la contextualisation, puis la recontextualisent. Cela peut être désorientant au début, car l'esprit aime contextualiser les choses et les avoir à leur juste place.

Désespoir divin et relations

Le désespoir divin peut être très intéressant, car toutes les structures de sens s'effondrent. Les relations s'effondrent parce qu'elles avaient un sens. La relation ne peut plus se produire.

Transactions et authenticité

Les relations transactionnelles ne peuvent pas se maintenir s'il n'y a personne pour y adhérer. Mais d'autres relations, sur le plan pratique, peuvent en fait être intensifiées et améliorées. Les relations qui ne sont pas basées sur l'inauthenticité, la relation, le désir ou les besoins peuvent s'améliorer. Les jeux ont disparu.

Facilité et flux

La recherche elle-même utilise une quantité fondamentale d'énergie. La facilité émerge dans l'espace de cette recherche. Les choses semblent se produire plutôt que d'être faites. Il y a un flux.

Calme et anticipation

Il peut sembler qu'il y ait une diminution d'une énergie difficile à cerner, une énergie qui se sent importante et qui se déplace quelque part. Cette énergie anticipatoire s'éteint.

Désir et aversion

La recherche et la résistance alimentent le feu du samsara. Cette énergie peut s'effondrer, car rien n'est ressenti comme étant mauvais sur le plan existentiel.

Travail et vocation

Il peut être difficile de travailler après cela, ou d'avoir un emploi du temps chargé. Si l'on est dans une vocation qui exige d'être ceci, cela peut être dévastateur.

Éducation et jeu

Il était de plus en plus difficile de jouer le jeu d'être dans une institution qui projetait la progression sur les enfants atteints de neurodivergence. Il était de plus en plus facile d'être avec les enfants tels qu'ils sont. Toutes les intentions de les changer et de les améliorer venaient d'un sentiment subtil que "je" dois me changer.

Systèmes et institutions

Le système scolaire et de nombreux autres systèmes sont apparemment une représentation externe d'un individu rêvé, car ils sont si contractés et rigides dans leurs structures.

Jeu et apprentissage

Le jeu est vraiment génial. Le système est une représentation externe qui semble imposer et projeter la solidité, la rigidité et la progression.

Anarchie et liberté

C'est un système qui n'a personne au centre pour faire tourner les rouages. Il est merveilleusement exposé qu'il n'y a pas de centre, pas de soi, pas de point, pas de distance, pas de séparation. La liberté est absolue, elle est totale et inconditionnelle. On ne peut pas l'atteindre, car même le fait d'atteindre est cela aussi. Tout est totalement et équanimement cette liberté.

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