Alexis - Non Duality - Hybrid Meet 26/11/25

Alexis - Non Duality - Hybrid Meet 26/11/25

Bref Résumé

Cette vidéo explore la nature de la réalité et de la non-dualité, soulignant l'immédiateté et la totalité de l'existence. Elle remet en question les notions de séparation, d'individualité et de continuité, suggérant que tout ce qui apparaît est une expression de la plénitude. La vidéo aborde également la question de l'illusion du soi et de la possibilité de vivre sans un centre personnel.

  • L'immédiateté est présentée comme une absence de distance, une plénitude dynamique et fraîche.
  • La liberté est définie comme un abandon inconditionnel, sans qu'il y ait un "moi" qui permette.
  • L'illusion de la séparation est déconstruite, révélant que tout est interconnecté et que la réalité est une totalité sans limites.

Introduction

Bernard salue les spectateurs et introduit le thème de la rencontre : une exploration de l'ineffable sans intention particulière. Il souligne que l'expérience actuelle est complète, entière et libre, bien qu'elle soit sans nom. Il n'y a rien à quoi s'accrocher ni à quoi renoncer. L'accent est mis sur l'immédiateté et la spontanéité de ce qui est, sans frontières ni limites.

L'immédiateté et la totalité

La discussion porte sur le concept d'immédiateté, défini comme l'absence de distance. L'immédiateté n'est pas une question de proximité ou de rapidité, mais plutôt une reconnaissance que tout est déjà ici et maintenant. Bernard utilise des mots comme "ceci" et "déjà" pour souligner cette idée. Il explique que même la douleur et la souffrance font partie de cette immédiateté et qu'il n'y a rien à transcender ou à éviter. La vie n'est pas une leçon, mais une expression de la plénitude.

La liberté et l'illusion du soi

La liberté n'est pas un sentiment ou une expérience, mais tout ce qui est. Bernard explique que dans le domaine illusoire du "moi", les choses semblent limitées et personnelles, mais qu'en réalité, tout cela est construit sur rien. Les notions de séparation, d'individualité et de continuité sont des illusions. Il souligne que tout ce qui apparaît est ce qui est, sans qu'il y ait besoin de chercher autre chose.

Annonces et salutations

Bernard accueille les spectateurs de YouTube et annonce des événements à venir, notamment un week-end à Prague et le "Tobias and Alexis no show" tous les samedis. Il salue également les participants sur Zoom et lit des commentaires du public, traduisant même un commentaire en espagnol sur l'illusion de la connaissance et de la séparation.

Partage d'expérience et paradoxe

Kiara partage une expérience personnelle difficile concernant la maladie de sa fille, soulignant le paradoxe de la souffrance et de l'absence de "quelqu'un" à qui cela arrive. Elle décrit le chaos et le silence, les arguments et les larmes, tout en reconnaissant que tout est vide et sans source. Elle souligne la beauté grotesque de cette réalité et l'importance de ne pas croire les mots qu'elle prononce.

Questions et réponses sur la non-dualité

Bernard répond à une question sur Adida, un enseignant spirituel, en soulignant que même si certains de ses enseignements peuvent sembler similaires à la non-dualité, il n'y a pas de hiérarchie ou de niveaux dans la réalité. Il explique que la non-dualité n'est pas quelque chose que l'on trouve dans un lieu ou auprès d'un guru, mais qu'elle est tout ce qui est, y compris la recherche elle-même. Il aborde également la question de savoir pourquoi parler du "moi" et du "non-moi" si tout est un, expliquant que le langage est limité et que l'expression est sans intention.

L'indivisibilité et l'amour total

Bernard traduit et répond à d'autres questions en espagnol, soulignant l'indivisibilité et l'absence de limites de ce qui apparaît. Il décrit l'unité illimitée comme quelque chose qui ne peut jamais être connu et qui se cache à la vue de tous. Il parle d'un amour total, radical et incommensurable qui englobe tout.

La folie divine et l'absence de direction

Bernard décrit la réalité comme une folie divine, une hystérie sans origine. Il souligne l'absurdité de la façon dont les choses apparaissent et se déroulent, tout en reconnaissant qu'il n'y a rien à objectiver ni de sujet pour le faire. Il utilise des allitérations pour exprimer la vitalité et l'absence de limites de cette réalité.

Définition de "Ceci est tout"

Bernard explique ce qu'il entend par "ceci est tout", soulignant que cela englobe toute l'existence. Il précise que même si le mot "existence" implique une séparation, "ceci" est immédiat et dynamique. Il clarifie que "ceci" inclut toutes les sensations, pensées et apparences. Il aborde également la question du temps, suggérant que la perception d'une ligne temporelle est une illusion.

La disparition du centre viscéral

Bernard décrit la disparition d'un centre viscéral, une énergie centrée et localisée qui prétendait connaître et nommer les choses. Il souligne que cette disparition n'est pas enregistrée comme un événement et qu'il n'y a plus de point de référence au passé. Il explique que cela conduit à une désorientation complète et à la disparition du sens de la continuité.

L'illusion du soi et la nature de l'existence

Bernard et Thomas discutent de la façon dont la disparition du soi semble conférer une connexion à la vérité objective. Bernard explique que les mots qu'il prononce ne sont pas liés à une connaissance conceptuelle, mais plutôt à une expression passionnée d'une énergie indescriptible. Il suggère que le soi est une histoire, un archétype qui n'apparaît jamais réellement. Il précise que même si le "bodying" apparaît, il n'y a pas de soi localisé à l'intérieur.

La nature illusoire de la perception

Bernard décrit la perception illusoire d'un soi vivant derrière les yeux, voyant et entendant le monde. Il souligne que cette perception est une simulation irréelle. Il clarifie que l'illusion n'est pas seulement "là-bas", mais qu'elle est aussi "ici".

Conclusion et salutations

Bernard remercie Thomas pour ses questions stimulantes et lit des commentaires du public. Il souligne que l'amour inconditionnel ne voit pas de personne ou de "vous", mais qu'il est tout. Il décrit la plénitude comme quelque chose qui ne peut jamais être connu ou compris, une totalité inclusive et englobante. Il conclut en envoyant beaucoup d'amour et en remerciant les spectateurs pour leur participation.

Share

Summarize Anything ! Download Summ App

Download on the Apple Store
Get it on Google Play
© 2024 Summ