Bref résumé
Cette vidéo traite de plusieurs sujets cruciaux concernant l'Algérie, notamment les menaces pesant sur la sécurité de l'État, les relations internationales, les projets économiques et les affaires de corruption. L'auteur exprime sa crainte que le président Tebboune ne soit le dernier président de l'Algérie telle qu'elle est connue, soulignant les dangers qui guettent le pays. Il aborde également des questions telles que la révision des mandats parlementaires, les relations avec la Russie et le Maroc, ainsi que des projets économiques controversés.
- Menaces sur la sécurité de l'État algérien
- Relations internationales tendues
- Projets économiques controversés et corruption
- Craintes pour l'avenir de l'Algérie
Introduction
L'auteur commence par souligner la crédibilité des services de renseignement algériens, tout en déplorant le manque de coopération entre eux. Il mentionne également l'aide apportée par le peuple marocain dans le passé et le prix payé pour la libération du peuple marocain. L'objectif est de maintenir le statu quo.
Nécessité d'agir face à une situation dangereuse
L'auteur insiste sur la nécessité pour les Algériens, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays, de jouer leur rôle face à une situation qu'il juge dangereuse et de plus en plus menaçante. Il souligne qu'il ne s'agit pas d'une question de pouvoir, mais de l'avenir du pays. Il critique l'absence d'une véritable opposition en Algérie et exprime sa crainte que le président Tebboune ne soit le dernier président de la République algérienne démocratique telle qu'elle est connue.
Craintes concernant l'avenir de l'Algérie
L'auteur exprime sa conviction que le président Tebboune et son entourage sont chargés d'une mission spécifique : l'instauration d'une nouvelle république appelée Algérie, avec des spécifications qu'il ne détaille pas. Il évoque une peur croissante face à la situation politique, économique, sécuritaire et sociale du pays, et critique ceux qui nient la gravité de la situation.
Dossier du tabac et corruption
L'auteur aborde le dossier du tabac en Algérie, en soulignant les changements qualitatifs survenus depuis 2001 et leur lien avec la corruption généralisée et les lobbies. Il critique la destruction de projets économiques sans justification convaincante et évoque une déclaration controversée de l'ancien ministre d'État, Abdulaziz bin Khadem, concernant une révision des restrictions imposées aux mandats parlementaires.
Révision des mandats parlementaires
L'auteur exprime son désaccord avec la proposition d'Abdulaziz bin Khadem d'ouvrir les mandats parlementaires aux anciens députés, estimant que le parlement actuel est devenu trop faible et que le président Tebboune lui-même ne reconnaît pas les députés. Il rappelle que le président n'a pas honoré sa promesse de campagne de s'adresser directement au peuple et critique le manque de diversité politique au sein du parlement.
Inutilité du Parlement actuel
L'auteur souligne l'inutilité du parlement actuel, le qualifiant de "vert" et affirmant que les décisions du président sont toujours adoptées, quel que soit le vote du parlement. Il rappelle l'exemple de la loi sur l'arabisation, adoptée par le parlement mais ensuite bloquée par le président. Il estime que le parlement devrait au moins être composé de personnalités compétentes et diversifiées pour donner du goût à l'arène politique.
Inacceptabilité d'un deuxième mandat pour Tebboune
L'auteur exprime son opposition à un deuxième mandat pour le président Tebboune, soulignant qu'il n'est pas capable de s'adapter à la situation actuelle. Il critique l'idée d'ouvrir les alliances parlementaires sans ouvrir également les mandats présidentiels, estimant que cela conduirait à une falsification flagrante.
Déclaration de Benkhadem et intérêts cachés
L'auteur revient sur la déclaration de M. Abdelaziz Benkhadem, se demandant s'il existe un accord secret avec le président Tebboune pour en profiter et devenir vice-président. Il insiste sur le fait que le moment n'est pas propice pour discuter de cette question, surtout compte tenu des menaces qui pèsent sur la sécurité et la stabilité du pays.
Création d'ennemis et corruption
L'auteur critique la politique du président Tebboune de créer des ennemis à l'intérieur et à l'extérieur du pays. Il déplore l'emprisonnement de personnalités politiques, militaires et civiles, estimant que cela ne fait qu'attiser la haine et la vengeance. Il rappelle que ces prisonniers ont des familles, des amis et des partisans qui attendent la bonne occasion de se venger.
Perte d'alliés sur la scène internationale
L'auteur déplore la perte d'alliés de l'Algérie sur la scène internationale depuis 2020, citant les pays arabes, occidentaux et asiatiques, ainsi que les alliances stratégiques avec la Russie et la Chine. Il critique la recherche d'alliances avec des pays en difficulté, comme l'Ukraine, et dénonce le comportement "stupide" de la Russie dans la question du Sahara.
Projet gazier Nigéria-Maroc et trahison
L'auteur exprime sa stupéfaction face à l'annonce du projet gazier Nigéria-Maroc, qui contourne l'Algérie. Il cite une déclaration du directeur général du Fonds de développement de l'OPEP, Abdul Hamid Al Khalifa, qui mentionne le projet sans faire référence à l'Algérie. Il accuse le gouvernement algérien de mentir et de tromper le peuple, et dénonce la menace que représentent ces mensonges pour la sécurité nationale.
Marginalisation de l'Algérie par la Russie
L'auteur critique la marginalisation de l'Algérie par la Russie, soulignant que le pays n'est même pas connu par les responsables russes. Il déplore l'envoi d'un simple attaché commercial à une conférence sur l'énergie en Russie, alors que les ministres de l'énergie des autres pays étaient présents.
Présidence russe du Conseil de sécurité et Sahara occidental
L'auteur évoque la présidence prochaine de la Russie au Conseil de sécurité en juin 2026 et la probabilité que la question du Sahara occidental soit soumise à discussion et à vote. Il craint que la Russie ne propose une solution favorable au Maroc, avec le soutien de la France, de la Grande-Bretagne et des États-Unis.
Intention de Tebboune de clore le dossier du Sahara occidental
L'auteur exprime sa conviction que le président Tebboune a l'intention de clore le dossier du Sahara occidental en acceptant l'autonomie proposée par le Maroc. Il estime que l'Algérie a déjà perdu le dossier palestinien et qu'elle s'apprête à se débarrasser du dossier sahraoui, ce qui pourrait conduire à une normalisation avec l'entité sioniste.
Défense du Sahara occidental : une question de sécurité nationale
L'auteur explique pourquoi l'Algérie défend le Sahara occidental plus que les Sahraouis eux-mêmes. Il souligne que le régime marocain est "lâche" et qu'il cherche à contrôler le Sahara occidental pour étendre son influence sur le désert oriental algérien. Il affirme que le soutien aux Sahraouis est une défense avancée qui protège les frontières algériennes.
Perte de l'alliance stratégique avec la Chine
L'auteur déplore la perte de l'alliance stratégique avec la Chine, soulignant que les entreprises chinoises ont été expulsées d'Algérie et remplacées par des entreprises turques. Il critique la suspension du projet portuaire de Cherchell, qui était considéré comme le projet du siècle, et dénonce la corruption et les intérêts cachés qui ont conduit à cet échec.
Échec des projets économiques de Tebboune
L'auteur critique l'échec des trois projets économiques majeurs du président Tebboune : Ghar Djebilet, le phosphate et le port de Cherchell. Il estime que ces projets sont voués à l'échec en raison de problèmes politiques, économiques et techniques, ainsi que de la corruption et des intérêts personnels.
Dossier du tabac : corruption et intérêts cachés
L'auteur revient sur le dossier du tabac, en révélant les noms des personnes impliquées dans la corruption et les intérêts cachés qui ont permis aux Émiratis de contrôler le marché algérien du tabac. Il cite notamment Nourredine Boukrouh, Boumediene Derkaoui, Yasmina Haj Nasser et Mustafa Kucuk.
Implication de hauts fonctionnaires dans la corruption
L'auteur détaille l'implication de hauts fonctionnaires dans la corruption liée au dossier du tabac, citant notamment le gouverneur de la Banque centrale et le conseiller à la présidence chargé des affaires économiques. Il révèle que des pots-de-vin ont été versés et que des biens ont été acquis grâce à cet argent sale.
Tentative de rachat de l'entreprise par l'Algérie et risques de crise
L'auteur évoque une intention du président Tebboune et de son entourage de racheter la société Emirates Tobacco Company, mais souligne que cela est peu probable en raison de l'opposition des Émiratis et du refus de Philip Morris de céder sa licence. Il met en garde contre les risques de crise du tabac en Algérie si Philip Morris arrête de produire des cigarettes, ce qui pourrait conduire à une révolution.
Où va l'Algérie ?
L'auteur conclut en reprenant la question posée par M. Abdelaziz Benkhadem : où va l'Algérie ? Il laisse entendre que le pays est en danger et que des forces obscures sont à l'œuvre pour le déstabiliser.
