Bref Résumé
Cette vidéo explore la manière de comprendre et d'embrasser la souffrance à travers la Divine Volonté. Elle souligne l'importance de ne pas se focaliser sur l'origine de la souffrance ni sur sa nature, mais plutôt sur le bien qui peut en résulter. La vidéo encourage à voir la souffrance comme une source de grâce, de purification et de liberté, transformant ainsi notre perception de la maladie, de la persécution et des épreuves de la vie.
- Ne pas se concentrer sur l'origine de la souffrance, mais sur le bien qui peut en résulter.
- La souffrance, lorsqu'elle est vécue dans la Divine Volonté, devient une source de grâce et de purification.
- Adopter une attitude de courage et d'acceptation face aux épreuves, en les voyant comme des cadeaux de Dieu.
Introduction
L'auteur introduit le thème de la souffrance et de son acceptation, en citant Sainte Bernadette qui disait ne pas promettre le bonheur en ce monde, mais dans l'autre. Il partage une réflexion sur la difficulté de voir un ami dépérir et l'importance de comprendre la grâce et le bienfait de la croix, en adoptant une perspective céleste plutôt que matérialiste.
La Manière de Souffrir selon Jésus à Louisa
L'auteur partage un texte de Jésus à Louisa, datant de 1901, qui explique la manière de souffrir. Il souligne la nécessité de comprendre le don immense de la Divine Volonté et d'annoncer cette grâce à ceux qui ne la comprennent pas encore. Dans la Divine Volonté, tout est différent, et l'on entre dans un accomplissement et un bonheur où rien ne peut nous vaincre.
La Souffrance Transformée dans la Divine Volonté
L'auteur décrit comment, dans la Divine Volonté, même les souffrances sont transformées, car c'est Jésus qui souffre en nous. La plus grande souffrance est de ne pas sentir la présence de Jésus, une privation divine. Il cite Saint Paul qui considérait la mort comme un gain, préférant être avec le Seigneur, mais restant pour accomplir un travail fructueux.
La Vraie Manière de Souffrir
Jésus explique à Louisa que la vraie manière de souffrir consiste à ne pas regarder d'où viennent les souffrances ni ce que l'on souffre. Il faut se détacher de l'origine de la souffrance et la considérer comme venant de Dieu. L'auteur utilise l'exemple de David qui refuse de punir celui qui le maudit, car il voit en cela la main de Dieu.
Volonté Voulue vs. Volonté Permissive
L'auteur explique la différence entre la volonté voulue et la volonté permissive de Dieu. Ceux qui vivent dans la Divine Volonté sont dans la volonté voulue, et tout ce qui leur arrive devient lumineux et source de grâce. Pour ceux qui ne sont pas dans la Divine Volonté, tout est obscurité, et ils ne comprennent pas les épreuves qu'ils traversent.
Regarder le Bien qui Doit Résulter
Il faut regarder le bien qui doit résulter de la souffrance. Jésus ne s'est pas arrêté aux bourreaux ni aux souffrances, mais au bien qu'il avait l'intention de faire par le moyen de ses souffrances, même pour ceux qui le faisaient souffrir. Cette manière de faire est la plus facile et la plus profitable de souffrir.
Embrasser la Souffrance avec Courage
L'auteur encourage à embrasser la souffrance avec une âme courageuse et invincible. Il faut accepter tout ce qui vient, qu'il s'agisse de tristesse, d'angoisse, de problèmes de santé ou de persécutions, en se disant : "Tout ce que tu veux, Seigneur." La croix est le plus beau des cadeaux, et celui qui souffre avec amour reçoit d'immenses grâces.
La Divine Volonté et la Vision du Bonheur
Dans la Divine Volonté, on voit tout différemment et on comprend que le vrai bonheur n'est pas sur terre, mais dans l'autre monde. Il faut accepter toutes les croix et les souffrances comme une bénédiction et une grâce de la Providence. L'auteur cite le Christ qui offre son corps pour faire la volonté de Dieu, devenant ainsi une âme victime.
L'Âme Victime et l'Effusion du Saint-Esprit
Devenir une âme victime de Jésus, comme Louisa, est un nouveau baptême, une nouvelle effusion du Saint-Esprit beaucoup plus puissante que le baptême initial. Chaque minute, chaque instant de cette vie, chaque croix et chaque souffrance sont une grâce dans la Divine Volonté. C'est Jésus qui répète sa vie en nous, sauvant ainsi des âmes.
Conclusion
L'auteur conclut en soulignant que tout acte fait dans la Divine Volonté est un acte divin qui se multiplie à l'infini. Il invite à faire un beau cadeau à Sainte Bernadette en prenant la Passion de Jésus et en lui offrant toutes ses souffrances et son sang. Dans la Divine Volonté, ce sont les saints qui reçoivent des cadeaux de notre part, et non l'inverse. Il termine en disant que, comme Sainte Bernadette, il témoigne de ce qu'il a vu dans la Divine Volonté, sans chercher à convaincre, mais simplement à partager sa vision.