Résumé bref
Cette vidéo explore la signification des "derniers temps" et comment nos prières et nos pénitences affectent les autres. L'auteur explique que les derniers temps ne signifient pas la fin du monde, mais plutôt la fin du règne de la volonté humaine et le début du règne de la volonté de Dieu. Il souligne l'importance de la prière et de la pénitence pour la conversion des pécheurs et le salut des âmes.
- Les derniers temps ne signifient pas la fin du monde, mais la fin du règne de la volonté humaine.
- La prière et la pénitence peuvent aider à la conversion des pécheurs et au salut des âmes.
Introduction
L'auteur présente le sujet de la vidéo, qui porte sur la signification des "derniers temps" et l'impact de nos prières et pénitences sur les autres. Il mentionne également qu'il partagera des extraits de l'enseignement du Père Yanuzi sur ce sujet.
Que signifie la fin des temps ?
L'auteur explique que les derniers temps ne signifient pas la fin du monde, mais plutôt la fin du règne de la volonté humaine et le début du règne de la volonté de Dieu. Il souligne que nous sommes à l'aube d'une nouvelle Pentecôte, un événement prophétisé par les saints papes Jean XXIII et Jean-Paul II. Cette nouvelle Pentecôte est associée au troisième millénaire du christianisme, qui correspond au septième millénaire depuis la création d'Adam.
Avant le jour de la justice
L'auteur cite la mystique polonaise du XXe siècle, Sainte Fina, qui a affirmé que Dieu envoie un jour de miséricorde avant le jour de la justice. Il explique que c'est pourquoi Jésus a appelé Fina à vivre dans ces derniers temps.
Les prélats qui vont en enfer et qui emmènent de nombreuses âmes avec eux
L'auteur aborde la question des prélats qui vont en enfer et qui emmènent de nombreuses âmes avec eux. Il rappelle que Dieu ne prédestine personne à aller en enfer, comme le stipule le Catéchisme de l'Église catholique. Il explique que les actions pécheresses d'une personne, comme un cardinal, un évêque ou un prêtre, ne sont pas la cause directe de la perte de l'âme d'une autre personne. Cependant, il affirme qu'une personne peut être la cause directe de la privation d'une autre personne des grâces spéciales ou extraordinaires de Dieu, et la cause indirecte de la possible damnation de cette personne.
Il est incorrect d'affirmer cela
L'auteur poursuit en expliquant que les actions pécheresses d'une personne ne sont pas la cause directe de la perte de l'âme d'une autre personne. Il souligne que chaque personne est responsable de ses propres choix et de son propre destin. Il donne l'exemple d'un malfaiteur dont les actions immorales entravent le flux de la grâce vers une autre âme.
Le péché a une dimension interpersonnelle
L'auteur explique que le péché a une dimension interpersonnelle. Les péchés d'une personne ont nécessairement un impact sur les autres. Il cite Saint Paul qui affirme que lorsque un membre du corps souffre, tous souffrent. Il mentionne également l'apparition de la Vierge Marie à Fatima, où elle a révélé aux trois enfants bergers une vision de l'enfer et a affirmé que de nombreuses âmes y allaient parce qu'il n'y avait pas assez de personnes pour prier pour elles.
Le bien du mal
L'auteur cite un passage de Padre Pio d'Alchina qui affirme que le Seigneur peut tirer du bien du mal. Il encourage les fidèles à se donner à Dieu sans réserve et à croire que même dans les épreuves, Dieu peut transformer le mal en bien.
