Bref Résumé
François Asselineau répond à des questions posées par les membres de l'UPR, abordant des sujets variés tels que l'insécurité, la justice, l'immigration, l'Union Européenne, et la politique intérieure française. Il critique le laxisme de la justice, l'autorité de l'État, et l'influence de l'UE sur la souveraineté nationale. Il propose des solutions radicales comme l'arrêt de l'immigration, des contrôles anti-drogue pour les dirigeants, et une politique plus ferme en matière de répression.
- Insécurité et justice laxiste
- Influence de l'UE sur la souveraineté nationale
- Proposition de solutions radicales
Question n°1 de Frédéric
Frédéric interroge François Asselineau sur le laxisme de la justice en France et l'incapacité du pouvoir à créer de nouvelles prisons face à l'augmentation de la criminalité. Asselineau souligne que l'insécurité est un sujet majeur de préoccupation pour les Français. Il critique le conformisme ambiant qui minimise la gravité des actes délictueux et l'inefficacité des condamnations prononcées. Il met en avant le manque d'autorité de l'État, exacerbé par la consommation de drogues et les problèmes de santé mentale. Il propose des mesures radicales comme des contrôles inopinés pour les dirigeants et une comparaison avec les pays ayant réussi à éradiquer la violence.
Question n°2 de Alain
Alain demande pourquoi la France ne suit pas l'exemple d'autres pays qui ne respectent pas les traités européens pour défendre leur souveraineté. Asselineau explique que la France, en tant que contributrice nette à l'UE, pourrait théoriquement entrer dans un bras de fer, mais que cela entraînerait des conséquences juridiques et politiques. Il distingue entre ne pas respecter les traités et introduire des réserves lors de leur signature, soulignant que la France n'a pas fait de réserves significatives. Il critique le non-respect par Macron de la déclaration 52 concernant les symboles européens et souligne que la Hongrie et la Slovaquie, malgré leurs discours, finissent par se conformer aux exigences de l'UE.
Question n°3 de Nicole N.
Nicole N. interroge François Asselineau sur son opinion concernant l'élection d'Ana Lena Barbok à la tête de l'ONU. Asselineau minimise l'importance de ce poste, soulignant que les véritables pouvoirs à l'ONU résident entre les mains des cinq membres permanents du Conseil de sécurité. Il critique les compétences de madame Berbok et évoque la candidature d'Anne Hidalgo à la tête du Haut Commissariat pour les réfugiés, dénonçant son utilisation des fonds publics à des fins personnelles.
Question n°4 de Bruno
Bruno demande si François Asselineau prévoit d'organiser des réunions publiques à travers la France pour échanger directement avec les citoyens et faire entendre son point de vue. Asselineau confirme qu'il va reprendre ses déplacements en province, soulignant l'importance du contact direct avec les électeurs. Il annonce une réunion publique à Farg, près de Bordeaux, le samedi 28 juin et mentionne l'université d'automne de l'UPR prévue les 27 et 28 septembre.
Question n°5 de Frédéric
Frédéric s'inquiète des suicides survenus dans les locaux de la DGSI et demande quelles mesures seraient mises en place pour éviter un nouveau cas France Télécom Orange. Asselineau exprime son ignorance des raisons de ces suicides et refuse de spéculer sur les causes. Il rappelle le drame vécu par les agents de France Télécom lors de sa privatisation et souligne l'importance de ne pas imposer des contraintes de productivité excessives aux fonctionnaires.
Question n°6 de Michael
Michael s'interroge sur le manque de discussions concernant une dissolution de l'Assemblée nationale. Asselineau explique que Macron n'a pas la possibilité juridique de dissoudre l'Assemblée avant le 8 juillet. Il évoque les rumeurs de remaniement ministériel et de réforme électorale, soulignant l'opposition de certains membres du gouvernement à la proportionnelle. Il critique le soutien du Rassemblement National à Macron et souligne l'importance de poser les vrais problèmes pour rétablir la sécurité en France.
Question n°7 de Johanna
Johanna demande où en est la plainte pour diffamation de monsieur contre François Asselineau. Asselineau répond qu'il n'a aucune nouvelle et qu'il attend avec intérêt.
Question n°8 de Alonefree
Alone Free demande si François Asselineau abolirait les droits de succession totalement et immédiatement en accédant au pouvoir. Asselineau explique qu'il n'est pas raisonnable de promettre la suppression pure et simple des droits de succession, mais qu'il serait possible de les supprimer jusqu'à un certain plafond. Il propose d'alléger les droits de succession pour les catégories les plus modestes et de mettre en place des mesures d'incitation fiscale pour les propriétaires de monuments historiques et d'œuvres d'art.
Question n°9 de Serge
Serge demande si la pétition pour la destitution de Macron pourrait pousser les parlementaires à agir et si l'UPR soutient cette pétition. Asselineau explique que cette pétition ne changera rien et rappelle qu'il demande la destitution de Macron depuis 2018. Il critique le Rassemblement National pour avoir bloqué la procédure de destitution et souligne l'importance de briser le silence médiatique pour faire connaître les idées de l'UPR.
Question n°10 de Magalie
Magalie demande ce qu'il faut de plus aux Français pour qu'ils se décident à quitter l'Union européenne, suite à la suppression des ZFE et à la menace de la Commission européenne de mettre une amende à la France. Asselineau critique les ZFE et dénonce le mépris de la caste politique pour le peuple français. Il explique que les ZFE font partie des engagements que la France a pris vis-à-vis de la Commission européenne pour toucher une partie de l'argent du plan de relance post-Covid. Il souligne que la construction européenne est une arnaque et que les Français se saignent aux quatre veines pour financer une dictature qui est en train de détruire leur propre pays.
Question n°11 de Frédéric
Frédéric demande si le direct UPR hebdomadaire sera maintenu si François Asselineau était élu président de la République ou premier ministre. Asselineau explique qu'il ne pourrait pas maintenir un rythme hebdomadaire, mais qu'il maintiendrait un rythme mensuel en s'inspirant de Charles de Gaulle et d'Hugo Chavez. Il prend l'engagement d'avoir une séance mensuelle de questions-réponses avec les Français et de répondre avec sincérité et honnêteté.