Bref Résumé
Cette vidéo explore comment le végétarisme et le véganisme ont été historiquement utilisés comme outils de contrôle social et d'inhibition, souvent motivés par des raisons religieuses visant à réprimer la sexualité et à affaiblir la force physique. Elle examine l'influence de figures comme John Harvé Kellog et les motivations derrière la promotion des régimes végétariens, ainsi que les implications potentielles sur la santé et la reproduction.
- Le végétarisme et le véganisme ont souvent été promus par des groupes religieux pour inhiber la sexualité et encourager le châtiment corporel.
- La privation de viande peut réduire la force physique et l'agressivité, servant potentiellement de moyen de contrôle de la population.
- Des personnalités comme John Harvé Kellog ont promu des régimes insipides pour lutter contre l'excitation sexuelle, ayant un impact durable sur les habitudes alimentaires.
Introduction
L'auteur explique qu'elle va refaire une vidéo sur le végétarisme et le véganisme comme outils de castration et de contrôle social, une vidéo précédente ayant été supprimée par YouTube. Elle omettra la conclusion controversée de la vidéo originale, mais fournira un lien vers son article qui contient cette conclusion pour ceux qui souhaitent la consulter.
Abstinence de viande et religion
L'abstinence de viande a souvent été motivée par des raisons religieuses, en particulier chez les moines au Moyen Âge. Bien que le Concile de Braga ait déclaré que la viande est une nourriture naturelle pour l'homme, il autorisait l'abstinence pour mortifier le corps. Des figures ecclésiastiques prônaient un régime végétarien pour inhiber la sexualité, considérant la viande comme stimulant les désirs sexuels. Un régime végétal était associé à la vertu et à la sainteté, contrairement au régime riche en viande de l'aristocratie, symbole de force. La viande était autorisée aux moines malades pour favoriser la guérison et la force physique.
Différents produits animaux et Houblon
Une distinction était faite entre les produits animaux : les moines pouvaient manger du poisson, du beurre, du fromage, des œufs, des grenouilles et des escargots. La volaille était considérée moins dangereuse pour la libido que la viande de quadrupède, mais restait limitée. Les moines évitaient aussi les plantes aphrodisiaques comme la serviette. Les peuples gaulois et germaniques consommaient beaucoup de viande, contrairement aux régimes frugaux proposés par l'église. L'ajout de houblon, une plante anaphrodisiaque, à la bière à partir du 16e siècle pourrait avoir été une tentative de limiter la libido des consommateurs.
Le végétarisme au 19e siècle et John Harvé Kellog
Au 19e siècle, le végétarisme a connu un regain d'intérêt. Hélène White, fondatrice de l'Église adventiste du 7e jour, a promu un régime végétarien pour limiter le désir sexuel. John Harvé Kellog, membre de cette église, a inventé les céréales du petit-déjeuner pour remplacer les repas traditionnels à base de viande, car il croyait que ces aliments causaient l'excitation sexuelle et la masturbation. Il a également fabriqué des viandes végétales.
Les idées de Kellog sur la masturbation et la santé
Kellog croyait que la masturbation détruisait la santé physique, mentale et morale, causant des maladies graves et même la mort. Il recommandait des mesures extrêmes comme la circoncision sans anesthésie et l'ablation du clitoris pour prévenir la masturbation. Il était également eugéniste et proposait de stériliser les personnes mentalement déficientes. Kellog a popularisé le terme de fibre alimentaire, remettant en question si les fibres sont réellement bénéfiques pour la santé.
Étude sur les femmes enceintes végétariennes
Une étude de l'université de Nottingham a révélé que les femmes végétariennes avaient plus de chances d'accoucher de filles que de garçons. Cela pourrait être dû au stress que le régime végétarien impose au corps, à la modification de l'acidité vaginale, ou à la présence de composés chimiques imitant les hormones sexuelles féminines dans les régimes végétariens.
Conclusion
Les régimes végétariens et végan ont été historiquement promus par les religions pour inhiber les pratiquants et abaisser leur force physique. L'interdiction ou la limitation de la consommation de viande est souvent liée à une volonté de contrôle de la population par des groupes religieux ou des élites. Ces dernières investissent dans des alternatives végétales et synthétiques, soi-disant pour protéger la planète et améliorer la santé. L'auteur invite les spectateurs à consulter son article pour la conclusion complète et ses sources.