Bref Résumé
Cette vidéo explore la conscience de travailler en réseau avec notre âme et comment cette conscience s'intensifie avec les temps messianiques. Elle souligne l'importance de reconnaître notre rôle dans un projet commun spirituel, de surmonter l'égoïsme pour embrasser une dimension plus universelle et inclusive, et de comprendre que notre individualité unique contribue à un projet divin plus vaste.
- L'âme travaille en réseau, et cette conscience s'intensifie.
- Participer à un projet spirituel global apporte joie et contentement.
- Il est nécessaire de se définir clairement pour fortifier les liens spirituels.
Introduction : La conscience du travail en réseau de l'âme
L'auteur introduit l'idée que notre âme travaille en réseau, une notion qui devient de plus en plus claire avec l'avènement des temps messianiques. Cette conscience collective est facilitée par des outils modernes comme les réseaux sociaux, qui témoignent d'un désir inné de communication et de relation. Même si les motivations derrière ces interactions peuvent varier, elles reflètent un besoin de participer à un projet commun.
L'impact des connexions spirituelles sur notre quotidien
L'auteur explique comment notre âme vit cette interconnexion depuis toujours, ce qui s'accentue avec le temps. Il décrit comment, au cours d'une même journée, on peut passer de la paix à un sentiment soudain de fatigue ou de difficulté, interprétant cela comme un appel à l'aide de la communauté d'âmes à laquelle on appartient. Bien que notre ego puisse rejeter ces sentiments comme ne nous appartenant pas, notre âme divine les reconnaît comme faisant partie de notre mission.
La participation à un projet commun et le rôle de la communauté d'âmes
L'auteur souligne que nous ne nous incarnons pas seuls, mais au sein d'une communauté d'âmes. Chaque nuit, les membres de cette communauté partagent leur travail spirituel, ce qui permet une compréhension et un soutien mutuels. L'objectif est de s'améliorer et de se perfectionner pour vivre pleinement en conscience de notre âme et en présence du divin, en exprimant les valeurs divines à travers nos pensées, nos paroles et nos actes.
L'importance de la prière communautaire et de la conscience de l'interdépendance
L'auteur insiste sur le fait que notre âme ne travaille jamais seule et qu'il est préférable de prier en communauté ou avec Dieu, même dans la solitude. Avec l'avènement des temps messianiques, la compréhension de notre interdépendance deviendra de plus en plus évidente. Chaque jour, notre communauté d'âme partage un projet de travail spirituel que chacun doit s'efforcer de porter dans ses pensées, ses paroles et ses actes.
Le dépassement de soi et l'appel à un travail spirituel supplémentaire
L'auteur aborde la notion d'un effort supplémentaire demandé après avoir accompli notre travail personnel. Cet appel à un travail spirituel en commun peut susciter de l'agacement, mais il est en réalité une grâce et une opportunité de grandir spirituellement. Il est important de prévoir cette part d'aide communautaire dans notre travail spirituel quotidien, car il peut arriver que d'autres membres de la communauté ne puissent pas faire leur part.
L'ego spirituel et la discrétion dans le service
L'auteur met en garde contre l'ego spirituel, qui cherche la reconnaissance et la valorisation dans le service. Le véritable travail spirituel se fait dans la discrétion. Les temps messianiques exigent un engagement plus profond dans la vie spirituelle, et il est essentiel de se réjouir de participer à un projet spirituel global, plutôt que de se laisser contrarier par les exigences supplémentaires.
Le passage d'une conscience égocentrique à une conscience théocentrique
L'auteur explique que se concentrer uniquement sur notre personnalité et nos relations visibles ne suffit plus. Les relations peuvent devenir difficiles en raison des écrans de l'ego. Le travail spirituel doit donc se tourner vers l'intérieur, en reconnaissant que le seul ego juste est Dieu. Il est nécessaire de passer d'une vision égocentrique à une vision théocentrique, où notre âme est centrée par le divin.
La nécessité de travailler en réseau et de trouver sa communauté d'esprit
L'auteur souligne l'importance de travailler en réseau, car c'est lorsque deux ou trois sont réunis au nom du divin que quelque chose d'autre peut se produire. Il est crucial de trouver une communauté d'esprit et de vérité, où l'on peut partager le même désir de Dieu et d'accomplissement. Les liens basés uniquement sur le sang ou la famille ne suffisent plus, et il est nécessaire de trouver des personnes avec qui l'on peut vivre le lâcher-prise, l'acceptation et le don de soi.
L'évolution des relations et la recherche de nouvelles alliances
L'auteur explique que nous devons développer de nouvelles formes de communion et d'alliance, en étant ouverts à une nouvelle compréhension des relations. Notre âme participe à un réseau d'action, d'étude, de prière et de compassion qui est lié à une grande partie de l'humanité. En le sachant, nous pouvons nous libérer de ce qui nous empêche d'aller vers l'universel et l'inclusif.
La découverte de soi et la contribution unique à un projet commun
L'auteur encourage à se défaire de ce qui est trop particulier et personnalisé pour devenir un être universel, tout en conservant notre conscience individuelle unique. Il est essentiel de se connaître, de s'accepter et de témoigner de soi dans un espace communautaire qui permet à chacun d'être un pilier et une force. En comprenant notre projet particulier, nous réalisons que nous sommes une partie unique d'un projet commun qui a besoin de s'associer pour s'accomplir.
La force de l'union et de la complémentarité
L'auteur souligne que plus on se connaît et plus on comprend notre travail spirituel, plus il devient évident que nous devons nous réunir et nous assembler pour nous unir et communier. Cette union, comme des métaux qui fusionnent sans confusion, développe une force décuplée. Il est essentiel de se définir clairement pour fortifier les liens et participer à être un réceptacle de l'esprit communautaire d'en haut.
L'importance de la communauté et de l'idéal partagé
L'auteur explique que pour associer les forces de l'âme, il faut être au moins deux ou trois, idéalement dix, qui se connaissent, se reconnaissent, s'apprécient et sont capables d'assumer leurs forces et leurs faiblesses. Même ceux qui suivent des voies érémitiques font partie d'une communauté qui les soutient. Seul, on est comme un orteil dans une chaussure, mais ensemble, nous pouvons atteindre un idéal partagé qui nous amène au plus haut degré de nous-mêmes.
Conclusion : Travailler consciemment en réseau pour transformer le monde
L'auteur conclut en soulignant que nous travaillons déjà en réseau, mais qu'il est essentiel de le faire consciemment pour le dynamiser. Cela demande de se définir le mieux possible pour fortifier les liens et participer à être un lieu d'eucharistie, un lieu de rendre grâce. En reliant le haut et le bas, nous transformons le monde et contribuons à le purifier, le sanctifier et le déifier, comme le divin nous le propose.