On n'en peut plus des leçons de POLITIQUE au cinéma !

On n'en peut plus des leçons de POLITIQUE au cinéma !

Bref Résumé

Cette vidéo explore comment le divertissement grand public est devenu de plus en plus politisé, en particulier dans les productions américaines. L'auteur examine des exemples de films et de séries qui intègrent des leçons politiques et des messages engagés, souvent de manière insistante et polarisante. Il compare cette tendance à des œuvres plus anciennes qui abordaient des thèmes politiques de manière plus subtile et rassembleuse.

  • La culture américaine domine le divertissement mondial et tend à se politiser.
  • La politisation actuelle du divertissement est souvent revancharde et radicale.
  • Il est crucial de distinguer les leçons de vie de la propagande politique.

Le divertissement a changé

L'auteur constate une tendance croissante à la politisation du divertissement grand public, où les films et séries semblent vouloir donner des leçons de politique. Cette tendance est devenue presque dogmatique, peu importe le genre, la plateforme ou le studio. L'auteur a décidé de consommer plus de productions non-américaines et a découvert l'existence de deux mondes : le divertissement et la pop culture américaine, qui ramène constamment à la politique.

Tout est politique

La culture américaine, étendue grâce à la mondialisation, domine les sujets de la chaîne YouTube de l'auteur. Cette culture tend à se politiser, ramenant constamment aux conflits contemporains. L'auteur souligne que la question n'est pas pourquoi il ramène toujours la politique, mais pourquoi les films dont il parle ramènent systématiquement à la politique.

Quelques exemples

L'auteur cite plusieurs exemples de films et de séries sortis en 2025 qui intègrent des éléments politiques, tels que "Captain America 4", "Mickey 17", "Superman", "Une bataille après l'autre", etc. Il souligne que le problème n'est pas la politique en soi, mais la manière dont elle est abordée, souvent de manière trop sérieuse et appuyée.

Rien n’a vraiment changé

Le cinéma américain a toujours été engagé politiquement, et le cinéma français n'a fait que le singer. L'auteur remonte à des exemples plus anciens comme "Star Wars", "Predator" et "Rocky 4" pour illustrer comment la politique a toujours été présente dans le divertissement. La vraie question est de savoir pourquoi la fréquence de la politisation a autant augmenté et quel est le ton de cette dernière.

Leçon de vie et politique

L'auteur souligne la différence entre les leçons de vie et les leçons de politique (propagande). Il prend l'exemple de séries comme "Dexter", "Breaking Bad" et "Game of Thrones", qui n'étaient pas politiques au premier abord, mais dont on pouvait tirer des leçons de vie. Le problème aujourd'hui est que la pop culture fait de plus en plus l'inverse, avec des parallèles grossiers et une volonté de faire réagir les réseaux sociaux.

Ce que vous avez le droit de voir

La plupart des films qui s'engagent politiquement dans la pop culture tournent leur propos dans le même sens, sous-entendant de ne pas voter pour l'homme orange et rappelant constamment que tout ce qui provient de l'Occident est diabolique. L'auteur souligne que l'on apprend aux gens originaires d'Occident à se détester eux-mêmes. Il cite le film indien "RRR" comme exemple de divertissement qui diabolise l'homme occidental.

Une bataille après l'autre… la goutte de trop

L'auteur partage son expérience avec le film "Une bataille après l'autre", qui a été sa goutte de trop personnelle. Il décrit comment, dès les premières minutes du film, il s'est rendu compte qu'il allait être confronté à des thèmes politiques qu'il cherchait à éviter. Il compare cette expérience à d'autres films comme "Barbie" et "Eddington".

2 h 40 de torture

L'auteur détaille le scénario du film "Une bataille après l'autre", en soulignant les éléments politiques et idéologiques qui l'ont dérangé. Il critique la représentation des personnages, la glorification de l'extrémisme de gauche et la diabolisation des blancs. Il souligne que le film est interminable et que l'histoire est creuse.

Ça n'intéresse personne

Le film "Une bataille après l'autre" a été un échec commercial, malgré un budget de production et de marketing important. L'auteur estime que les gens sont fatigués de ce bourrage de crâne politique. Il compare le succès commercial de "Sinners" au flop de "Une bataille après l'autre", en soulignant que "Sinners" ne cherche pas à déconstruire, mais à rappeler une époque.

Le divertissement est verrouillé

L'auteur résume son propos en soulignant que les leçons de politique livrées par les productions en 2025 ne sont que des rejets d'une version alternative si Trump est arrivé au pouvoir. Il ne cherche pas à dire que la politique n'a pas sa place dans les films, mais déplore l'évolution récente de cette tendance. Il dénonce un cinéma verrouillé idéologiquement, plus moralisateur que narratif, qui cherche moins à raconter des histoires qu'à orienter les esprits.

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